Ma découverte de Death Stranding
Avant tout, je tiens à préciser que j’ignorais quasiment tout du créateur du jeu, Hideo Kojima, avant d’avoir à rédiger des news au sujet de son titre Death Stranding. Metal Gear n’a jamais été une licence qui m’attire et quant au reste de la carrière de son créateur controversé, il m’était inconnu, en dehors du fait qu’il a longuement travaillé pour Konami. Ici, pas de fangirlisme qui pourrait me rendre aveugle aux défauts du titre, ou à contrario, d’anti-Kojima qui pourrait me faire dire que le jeu est mauvais simplement parce que je n’aime pas son auteur. Ce que je vous propose, c’est donc un regard neutre, une découverte sans préjugés.
D’ailleurs, pour la petite histoire, ce qui a décuplé ma motivation à expérimenter le jeu dès sa sortie, c’est le trailer que Kojima est venu présenter à la Paris Games Week 2019, le mercredi 30 octobre plus précisément. J’étais sur place et le moins que l’on puisse dire, c’est que c’était spectaculaire. A compter de ce jour, je suis passée de tout juste intriguée et curieuse et à très intriguée et très curieuse. Puis est venu le temps où j’ai eu vraiment hâte. Pas qu’un nouvel élément annoncé sur le jeu ait changé le degré d’attente, mais j’avoue que j’en avais assez des moqueries au sujet du titre, fondées sur du vent, puisque personne n’y avait joué, en dehors de la presse et des influenceurs, dont l’avis est souvent considéré comme biaisé ou orienté (un jour, il faudrait foutre la paix aux journalistes, les influenceurs oui, mais les journalistes… bref, c’est un autre « débat » et comme d’habitude, ce sont ceux qui en savent le moins qui en parlent le plus). Au moins, une fois le jeu expérimenté par les joueurs lambdas, on aurait une base concrète pour discuter, à défaut de parvenir à un consensus, non ? J’étais à la fois loin du compte, à la fois très proche de la vérité.
Toujours est-il que l’heure est venue de découvrir ce que Death Stranding a dans le ventre et, si vous le voulez bien, d’échanger au sujet de cette vidéo dans les commentaires. Bon visionnage.